samedi 21 avril 2012

Le Parfum de Patrick Süskind


Le Parfum de Patrick Süskind, c'est un peu une histoire TROP passionnante. Pour ceux qui ne connaissent pas et n'ont pas non plus vu le film, en exclu pour vous ce petit résumé de la mort :
au passage merci Evene.fr de me fournir tout ça hein

Enfance malheureuse et pauvre, sans aucun amour, l'unique don que la vie ait fait à Jean-Baptiste Grenouille est son extraordinaire odorat. Mais c'est aussi ce dernier qui va faire de lui un meurtrier sans pitié qui cherche à posséder le doux parfum des jeunes filles en les tuant. Après un apprentissage à Paris, chez un parfumeur, il se rend à Grasse, où les techniques sont plus sophistiquées, pour reproduire ces odeurs qu'il aime tant...


Un résumé certes plutôt concis, mais tout de même assez alléchant...slurp!
Je connaissais pour ma part déjà l'histoire puisque j'ai vu le film que j'ai adoré.
J'ai donc eu l'occasion de constater qu'un bon gros passage du film était consacré à quelque chose qui fait une ou deux pages grand maximum dans le bouquin, à savoir les meurtres des 24 pov' filles.

L'image n'a strictement aucun rapport avec ce que je viens de dire

Jean-Basptiste Grenouille incarne le type même du anti-héros antipathique, hideux et franchement détestable.
C'est justement ce qui fait tout l'interêt du texte à mes yeux : cette troublante façon qu'a le narrateur de rester neutre vis à vis du personnage dont il raconte l'histoire, alors qu'il s'agit d'un meurtrier. Ce décalage nous fait mourir d'envie de continuer la lecture.
Le projet macabre de cet assassin nous est présenté dans une certaine poésie malsaine, parfois dérangeante.


Malgré tout, ce que je regrette peut-être un peu (c'te modalisation), c'est de ne pas m'être davantage impliqué dans la lecture de ce roman, d'avoir fait de nombreuses pauses plutôt longues avant de reprendre à nouveau, et d'avoir parfois été un peu détachée du récit pour cause personnelle.
Ca a beaucoup nuit à mon appréciation du roman, et énormément jour aussi (C'EST TROP DROLE D'ACCORD?! ALORS RIGOLEZ!)


Comme vous pouvez le constater, j'ai passé beaucoup de temps à faire toutes ces photos. Du coup, ma critique en pâtit... Surtout que je suis dans un contexte du "je-dois-préparer-mes-affaires-pour-partir-il-est-23h00-et-j'ai-pas-commencé", contexte qui me fait à intervalles réguliers jeter un coup d’œil à la valise complétement vide derrière moi, à mes placards désespérément pleins, pour finalement revenir sur l'ordinateur. J'essaie tant bien que mal de finir cet article, avant que ce soit lui qui m'achève ;-)


En fait, ce qui revient souvent dans les critiques sur ce livre, ce sont les descriptions étonnantes de réalisme, sur les odeurs par exemple. Néanmoins, les descriptions sont parfois très longues, trop longues, et je plaide coupable d'en avoir omises quelques unes, naturellement, tout à fait involontairement!
Les premières pages du Parfum de Patrick Süskind sont particulièrement captivantes alors que par la suite, le rythme commence à s’essouffler. Mais ces petits reproches ne suffisent pas à nous gâcher notre plaisir, on est des coriaces nous pas vrai?


Intéressant également de constater, de part le côté olfactif du récit, qu'on a bien souvent tendance en regardant des films dont l'histoire se déroule au XVIIIe siècle, d'oublier la puanteur que devaient dégager les rues, les villes et les gens à cette époque-là. Et là je perds tous mes lecteurs venant de cette période qui, vexés, ferment la page ;o (oui, y'en a)


Pour ma part, les faits me paraissaient si vraisemblables (bien que beaucoup d'insistance sur le don de nez de Grenouille) (bizarre ma phrase entre parenthèse si on connait pas le contexte), ils paraissent si crédibles qu'en fait, je pensais naïvement qu'il s'agissait d'une histoire vraie, ou au moins que cela en été inspiré. Mais il n'en est rien.

Je suis désolée mais la valise m'appelle, moi aussi ça me fait peur. En tout cas si vous avez l'occasion de tomber sur le Parfum - et pas dans le parfum hein, on fait bien gaffe - je vous conseille chaudement de vous y plonger, car si on considère que les ours bruns sont à la tangente de Y ce que cette phrase est au bon sens, alors d'après mes calculs rénaux cela risque fort d'être une belle expérience!


309 pages 
(je compte à chaque fois pour vérifier. La conscience professionnelle, que voulez-vous)
5€
paru en 1985

jeudi 19 avril 2012

The Big Bang


Alors pourquoi le titre, c'est une bonne question, à laquelle j'ai envie de vous répondre mes amis : eh bien parce que! On remarquera au passage la superbe argumentation.

Je reviens vite-fait avec une petite tenue. Mais en fait pour tout vous dire, c'est plus pour les photos qui dégagent je trouve une certaine atmosphère, que pour la tenue en elle-même, qui n'avait rien de bien extraordinaire. (parce que celles de d'habitude le sont?!)

Autodérision à part, c'est un article lecture qui était prévu prochainement, mais n'ayant pas encore retouché les photos pour l'illustrer, je me vois contrainte à vous proposer ces quelques clichés. Vraiment, quel dommage ;-)


"y'a du vent 'jourd'hui!"

Quelle belle tête de "WTF?!" :')
Et sinon à part des arbres, des fleurs, des cocinelles, des tortues et des frelons, ça lui arrive de prendre autre chose en photo...?!


Mais arrêtez, revenez! j'vous ai pas encore fait tout le bestiaire! Y'a encore des plantes que vous z'avez pas vu sur ce blog! Promiiiiiiiiiis, partez pas!

Je vous avoue que je suis déjà à court d'inspiration (De kûûaa je peux leur parler? >_<), alors je crois que je vais y aller à grand coups de "je vous raconte ma life" ;o
Aujourd'hui j'ai donc fait un pitit peu de shopping avec ma môman, j'ai donc pu acquérir pleins de trucs indispensables dont je n'avais pas besoin.
J'avais déjà repéré ce jean à Pimkie et miracle, j'ai réussi à y rentrer sans l'aide de chausse fesses. C'est comme un chausse pied mais pour le derrière.
J'ai aussi craqué pour une chemisette transparente (à quoi sert le "ette"? à faire mignon?) de couleur noire, et des derbinettes (tant qu'on y est) noires aussi, sur lesquelles j'ai bien envie de rajouter quelques clous pour jouer la rebelle.



Depuis que ma grande soeur me l'a offert, ce petit bracelet en argent avec son papillon ne me quitte plus *_*





Le pied a parlé.

Et pour finir, sachez que j'ai bousillé un vieux pantalon noir et un vieux soutien-gorge, mais pour la bonne cause! En effet, après avoir récupéré la dentelle noire sur ce dernier, j'ai fait quelques trous dans le pantalon et y ai cousu la dentelle ;-)
(Inspiration)


Ce n'est pas le slim noir que je porte sur les photos précédentes, c'en est un autre. Je vous le montrerai mieux plus tard si vous êtes gentils.

Je file, cette fois-ci vous n'avez pas droit à la jolie image de moi en train de partir de l'article dernier, pardoooon, mais le coeur y est! Encore pleins de merci pour tout vos messages adorables!

et pour le titre j'ai menti, c'est par ici les copains

Blazer noir : Nafnaf , blouse rouge : Bershka , slim noir : Pimkie, écharpe aucune idée, bracelet papillon : Trésor, cadeau de ma soeur , Chaussures : San Marina, déjà portées ici



EDIT : Si vous vous ennuyez, je vous propose de chercher le camion de pompier qui se cache dans cet article.

samedi 14 avril 2012

L'article qui n'avait pas de titre


Au risque de décevoir ceux qui me suivent et qui souhaitent davantage d'articles concernant des livres...
Tenez ben tiens, je sais pas ce qui est le plus étonnant là dedans, le fait qu'il y ait des gens qui me suivent ou le fait que ceux qui le font souhaitent plus de critiques de bouquins? ;-)

Donc disais-je, au risque de déplaire à ces personnes là, que je ne nommerais pas mais qui s'appellent Julien et Valentin, voici une série de quelques photos réalisées il y a une semaine ou deux, ou p'tet trois. Cette précision de ouf, ça m'émeut :')

Je conseillerais à ces personnes-là qui s’appellent Julien et Valentin de prendre leur mal en patience, si ce n'est pas trop demander à leur humble mais néanmoins aimable personne, et d'attendre gentiment le futur article que je leur concocte qui risque fort de les satisfaire. *se frotte les mains*


Ceux qui n'ont pas de blog l'ignorent peut-être, mais il y a une option dans le panneau d'administrateur sur Blogger ("panneau d'administrateur", ça fait bien forum de dire ça) qui permet de voir les requêtes Google qui ont amenées les gens sur notre site.

Si j'en parle, c'est parce que c'est assez drôle de consulter cet endroit, et de constater que les requêtes Google c'est vraiment n'importe quoi.
Dans le genre "normal", entre autres "nana", "le château ambulant", "short american", "bague serpent", "veste vivienne westwood coeur" ont conduit des internautes ici.

Dans le genre bizarre en revanche...


...ben c'est une autre paire de manche trois-quart.

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer, comment, mais COMMENT, mais COMMENT, a pu se retrouver sur ce blog un individu ayant tapé "homer simpson bourré", "faire part naissance de dinosaure", "est-ce que patrick fiori est breton" ou encore "effet de l'éthanol sur le congolais moyen"...?!
siouplait dites-moi

J'sais pas pourquoi, un pressentiment sûrement : je sens que ces personnes-là n'ont pas trouvé ce qu'elles cherchaient. Même si, soyons bien clairs là-dessus, profondément et du fond du coeur je le leur souhaite, hein!
Et ça encore, c'est quand ce sont des requêtes compréhensibles. Car oui, il y en a certaines qui m'ont laissées, comment dire? perplexe.

En exemple, je citerais le transcendant "jai conet" à la pertinence exceptionnelle, ou encore le magnifique solo "pa pa pa pa pa la la la pe lalalala", on applaudit bien fort s'ils vous plaît.

Moi, ça me donne envie de danser.


Enfin bref, tout ça pour dire comme d'habitude, un peu de pas grand chose, mais surtout du rien du tout. Être blogueuse ou l'art et la manière de savoir meubler un article tout en racontant n'importe quoi, c'est fabuleux ;-o

Pas de tortue cette fois pour vous émerveiller, mais un joli frelon qui cherchait l'anneau :


Bien sûr, une pose photo incontournable qui te fait sautiller en l'air comme une grosse débile devant l'oeil ébahi de tes voisins, et qui t'oblige une fois sur 2 à te tordre la cheville en atterrissant :

Mes bottines Nafnaf de baroudeuse ou les chaussures dont le lacet se défait toutes les 8 secondes 




Vernis bleu Mavala - 167 Cyclades blue

Vernis bleu Mavala - 167 Cyclades blue


Et sur ce, je m'insurge, je quitte le plateau et je vous dit à la prochaine!

=> EXIT

Gilet bleu ciel : cadeau de Christelle, merci encore , robe à volants et petites roses façon tutu : marché, collants à pois : Ikory, une boutique à Monetier,  vernis bleu : Mavala #167 Cyclades Blue, cadeau de mon copain, Chaussures : Nafnaf, déjà portées ici et ici.

90


lundi 9 avril 2012

Hunger Games de Suzanne Collins (Tome 1)


Alors voilà, actualité oblige (Comment ça "c'est dépassé depuis 2 semaines?!"), et puis curiosité surtout, j'ai été obligé de lire Hunger Games. Oui oui, on m'a forcée et tout.

Je vous fait le petit speech habituel en copié-collé parce que j'ai la flemme de raconter l'histoire avec mes propres mots :
 (et puis QUI connais pas l'histoire? QUI?! qu'on le pende!)

Dans chaque district de Panem, une société reconstruite sur les ruines des États-Unis, deux adolescents sont choisis pour participer au Jeu de la Faim. 
La règle est simple : 24 candidats pour un seul survivant, le tout sous le feu des caméras!
Tuer, ou se faire tuer. Celui qui remporte l'épreuve, le dernier survivant, assure la prospérité à son district pendant un an.
Peeta et Katniss sont tirés au sort, et les voilà catapultés dans un décor violent, semé de pièges, où la nourriture est rationnée et, en plus, ils doivent remporter les votes de ceux qui les observent derrière leur télé... 
Alors que les candidats tombent comme des mouches, que les alliances se font et se défont, Peeta déclare sa flamme pour Katniss à l'antenne. La jeune fille avoue elle-aussi son amour.
Calcul ? Idylle qui se conclura par la mort d'un des amants ? Un suicide ? Tout est possible, et surtout tout est faussé au sein du Jeu de la Faim. 



Alléchant, n'est-ce pas? Eh bah nan. Not at all.
Et ce, pour plusieurs raisons exposées ci-dessous.

Dès les premières pages, un mauvais pressentiment m'envahit : je n'arrive pas à plonger dans l'histoire. Elle me paraît trop peu vraisemblable.
Pour être réellement accroché à un bouquin, il faut au minimum y croire non? Surtout pour de la science-fiction!
Plusieurs choses me gênent : La mère de Katniss est réduite au rang de légume. OK, elle a fait une dépression après la mort de son mari, mais au point de devenir aussi inconsciente de la réalité et de livrer ses deux filles à elles-mêmes? Elle a encore deux bouches à nourrir bon sang, qu'est-ce qu'elle a pu m'énerver cette grognasse à ne pas réagir!
Katniss, 16 ans, porte sur elle toutes les responsabilités. J'ai trouvé ça vraiment exagéré, surtout de la façon dont s'est écrit et présenté dans le roman : ou comment revisiter le cliché "débarassons-nous des parents lorsque le héros est un ado!".
Mon agacement est à son paroxysme lors des adieux, où Katniss se comporte en mère et sa mère en totale irresponsable. MAIS OMG GIFLEZ-LA!


Ensuite viennent les "préparatifs". Qui m'ont, là encore, également énervée : pourquoi prend-on autant de soin à leur coiffure, leur maquillage, leur manucure... alors que les entraînements, qui eux sont vraiment utiles, sont d'une importance moindre?
Alors OUI je sais, c'est pour les sponsors gnagnagna... Mais bon sang ils vont quand même tous crever pour la plupart et la seule chose qui vous préoccupe c'est quelle robe ils vont mettre pour le défilé?!
Tiens justement, parlons-en de ce défilé : certains participants défilent...nus? Mais WTF! Vous avez déjà allumé votre télévision, regardé une émission de téléréalité et vu des candidats à poil? Ahem...OK... j'ai rien dit.


En fait, la vraie partie intéressante commence lorsque le jeu débute. Avant, Katniss montre tellement peu son appréhension de la mort (enfin hein, c'pas comme si elle allait p'tet claquer! Noooon...), elle montre donc tellement peu ses craintes, que cela la rend aussi humaine qu'un poireau.

Lorsque les Hunger Games commencent (aaaah! *frottement de mains*), en revanche, LA, l'intérêt grandit progressivement je l'avoue. Les alliances, leur survie, ce suspens, ces rebondissements : parfait.

Malgré cela, l'héroïne paraît tellement peu risquer sa vie, et tout a l'air trop simple pour elle. Je veux bien qu'on se doute pertinemment qu'elle va gagner (fallait pas l'dire? Oups...), mais j'ai lu des livres où l'auteur mettait bien plus son héros en situation critique et de prime abord complétement désespérée, à tel point qu'on se questionne sur ses chances de survie, quand bien même il restait encore beaucoup de pages avant la fin... Et qui parvenait à l'en faire sortir in extremis.
Suzanne Collins elle, prend, à mon goût, bien peu de risques pour Katniss, ce qui ternit un peu le côté dramatique et cruel des événements. Heureusement, rehaussé par les alliances et autres stratégies plutôt surprenantes.


Par ailleurs, j'aurais davantage rajouté des réflexions personnelles de la part de Katniss, sur l'inhumanité de ces jeux par exemple, ou sur le Capitole, la société dans laquelle elle vit, etc. Parfois, hormis quelques pensées de surface sur Prim, sa mère et le district 12, Katniss a l'air de bien peu s'interroger.
Le temps passé dans l'arène m'a paru extrêmement court, tandis qu'à la fin, on nous parle de "plusieurs semaines". A tout casser, j'aurais dit une dizaine de jours.

Le "rebondissement" final (vous en faites pas, je spoil pas là-dessus), censé être une catastrophe ayant énormément déplue aux Juges, passe finalement hyper crème et Katniss s'en sort haut la main. Alors qu'elle nous dit que ce qui l'attend est "bien pire que les Hunger Games!"
Non mais, secouez-moi cette fille!
Elle se rend compte de ce qu'elle vient de vivre? A l'entendre, on dirait qu'elle a remporté un simple Koh-Lanta. D'accord pour eux, c'est une émission commune, presque une coûtume, mais à sa place, j'aurais sûrement été plus choquée que ça, surtout qu'au départ, dans sa tête elle partait perdante...


"Maintenant qu'elle a bien descendu le bouquin elle va nous dire qu'elle l'aime bien?!"
EH BIEN OUI MON CHER EUSTACHE!
Il est long à démarrer, horriblement chiant lors des préparations, trop peu insistant sur la gravité (et le scandale) de ces Jeux, a une fin plate et inintéressante digne d'un vulgaire "Feux de l'amour" : "Je t'aime moi non plus :')"...
...Mais oui, comment l'expliquer, j'ai quand même aimé ce livre. Malgré toutes mes critiques, je dois bien avouer que le moment dans l'arène est très prenant. Les personnages, même ceux que j'ai envie de tarter, sont...comment dire? Pas si désagréables.
Je pense que le deuxième tome me plongera davantage dans l'histoire, et saura me faire oublier toutes les petites déceptions que j'ai eu au long de ma lecture. Car oui dans cet article j'ai beaucoup insisté sur les points négatifs et de tous petits détails qui m'ont un peu gâchés mon plaisir, mais rappelons bien qu'il faut de toute façon toujours lire soit-même le roman pour s'en faire une vraie idée ;-)

Dernière chose, Hunger Games a provoqué tout de même de gros débats au Japon, étant considéré comme un plagiat du roman Battle Royale de Kōshun Takami.
Dans un Japon futuriste, des élèves d'une classe tirée au sort sont forcés de participer à un jeu dont il ne restera qu'un seul survivant. (plus d'infos : ici)
Je dis ça comme ça, à caractère informatif, je n'ai aucun avis sur la question sachant que je n'ai pas lu le bouquin de notre cher Takami. C'est prévu par contre, car maintenant que je le sais, ça m'intrigue!

Le premier film de la saga Hunger Games est donc sorti le 21 mars. Un film de Battle Royale existe aussi, et ci-dessous, je vous propose les liens leurs deux bandes d'annonce :

Bande d'annonce de Battle Royale (âmes sensibles, c'est plus gore)


Sur ce, ce post est déjà très long je crois! J'espère que vous avez apprécié mes photos, que j'essaie toujours de faire un peu coller à l'ambiance.
Je n'ai pas le temps de m'étendre davantage sur le film, sachant que toutes mes critiques ici n'étaient adressées qu'au livre.
C'est toujours mieux de lire avant d'aller le voir, qu'en pensez-vous?
Donnez-moi votre retour quant à Hunger Games, et Joyeuses Pâques ;-)

Pocket Jeunesse - 398 pages - 17€
paru en septembre 2008


dimanche 1 avril 2012

Flose et Reur


Décidément ces temps-ci, j'arrête plus les articles >w<
J'espère que vous avez passé un bon week-end au soleil, et je vous remercie encore pour vos nombreux messages qui me font tellement plaisir (et auxquels, répétons-le, je réponds dans un intervalle pouvant aller de six mois à un an).


 Me voici donc à nouveau avec des fleurs, on ne se refait pas que voulez-vous...

Beaucoup de vos commentaires ont été très encourageants quant à la mise en ligne de vidéos ou de mes textes dont j'avais parlé. Je vais y réfléchir encore, mais en tout cas pour les textes c'est presque sûr.
J'aimerais bien en fait écrire une histoire rien que pour vous, et la poster dans mes articles en même temps que les photos de mes fringues. Après 'faut voir parce que les photos sont parfois complètement hors sujet par rapport au texte et ça risque de tuer tout l'truc, idem pour les critiques de lecture que je poste de temps à autre qui risquent de casser le rythme de l'histoire...
En réalité récemment, j'ai eu une idée de fou pour un nouveau scénario, mais toujours le même problème : vous dévoiler mes chapitres au fur et à mesure, sachant que le sujet n'a aucun rapport avec mes photos et mes lectures... Ce serait hyper zarbi, nan?


Et sinon dans un tout autre registre, il n'y a pas longtemps, la très gentille et adorable propriétaire du blog Every Friday Evening avait écrit un petit texte parlant de l'effet altérant du temps sur les événements, les sentiments, les personnes.


Je voulais revenir là-dessus parce que c'est vrai, et que forcément dans notre vie, à un moment ou à un autre, on est tous confronté à cette dure réalité. Pourquoi rien n'est-il éternel?
Pourtant, nous le savons pertinemment. Dès le début, on est parfaitement conscient que ça arrivera inéluctablement. Il n'y a rien qu'on puisse faire pour arrêter le temps, meurtrier, et pour l'empêcher de s'approcher seconde par seconde avec son poignard.
Alors pourquoi est-ce que cela fait toujours aussi mal quand l'ultime instant est là? Quand on sait que, juste dernière nous, le couteau se lève. Qu'on entend même la respiration de celui qui le tient dans ses mains.
Nous étions préparés. Nous étions prévenus.
Alors dites, pourquoi c'est toujours aussi douloureux?





Trève de dépression à part, ma tortue adore se faire photographier. Oui oui. Parce que je vous montre pas toutes les photos là, et certaines sont coupées : mais dans quasi toutes, elle a tapé l'incruste.
Elle est aussi souvent venue m'embêter et me grimper sur les chaussures. Normal kwa.


Pour vous montrer un exemple assez drôle de son intelligence de tortue, regardez la série de photo suivantes, réalisées dans l'ordre de l'action :


Elle entreprend de monter sur ma chaussure pour on ne sait quelle obscure raison. Y'a pas assez d'place pour passer de l'autre côté bon sang? >w<


Oh, et puis, finalement, non, pas envie.


Oh, mais que vois-je? Elle contourne ma chaussure et...



...fait exactement la même chose mais dans l'autre sens?! Because me foutre la paix is too mainstream.
C'est ça, la logique reptilienne?

quand j'vous disais qu'elle tapait l'incruste..



 Sur ce, je vous souhaite un excellent début de semaine et plein de bonheur et bonne année à tous.
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Gilet à fleur et foulard rose : Nafnaf, cadeaux de la maman à mon copain, merci encore! , Chemise : La Redoute, Jean noir : Pimkie, boucle d'oreilles perle de culture : Accessoiries, cadeau de Cabille la chenille, merciiiii , Chaussures : Nafnaf, déjà portées ici.


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